La maîtresse de Brecht
de Jacques-Pierre Amette Albin Michel, 2003, 300 p. ; 20 cm En 1948, après quinze ans d'exil, Bertolt Brecht revient à Berlin où le régime communiste compte sur lui pour édifier un théâtre " prolétarien et socialiste ", vitrine culturelle du régime. Le dramaturge fait la rencontre d'une actrice, Maria Eich, qui devient sa maîtresse. Il ne sait pas encore que la jeune femme va, jour après jour, noter ses faits et gestes, lire son courrier, rapporter fidèlement ce qu'elle voit et entend aux agents de la Stasi, la police politique. Car, au-delà des honneurs officiels, certains se méfient de l'écrivain qui a passé tant d'années chez les capitalistes américains... Commence alors, dans les coulisses du Berliner Ensemble, un jeu de rôles où, face aux ombres et lumières d'un Brecht à la personnalité complexe, se détache la figure de Maria, instrument docile et pathétique aux mains de l'appareil totalitaire. Ce roman est une peinture saisissante d'un Berlin qui se relève péniblement de ses ruines, méditation sur la vérité de l'art aux prises avec les mensonges politiques. |
Amette Jacques-Pierre.
La maîtresse de Brecht.
Albin Michel, 2003, 300 p. ; 20 cm.
Titre : | La maîtresse de Brecht |
Auteurs : | Jacques-Pierre Amette, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Albin Michel, 2003 |
Format : | 300 p. ; 20 cm |
Résumé : | En 1948, après quinze ans d'exil, Bertolt Brecht revient à Berlin où le régime communiste compte sur lui pour édifier un théâtre " prolétarien et socialiste ", vitrine culturelle du régime. Le dramaturge fait la rencontre d'une actrice, Maria Eich, qui devient sa maîtresse. Il ne sait pas encore que la jeune femme va, jour après jour, noter ses faits et gestes, lire son courrier, rapporter fidèlement ce qu'elle voit et entend aux agents de la Stasi, la police politique. Car, au-delà des honneurs officiels, certains se méfient de l'écrivain qui a passé tant d'années chez les capitalistes américains... Commence alors, dans les coulisses du Berliner Ensemble, un jeu de rôles où, face aux ombres et lumières d'un Brecht à la personnalité complexe, se détache la figure de Maria, instrument docile et pathétique aux mains de l'appareil totalitaire. Ce roman est une peinture saisissante d'un Berlin qui se relève péniblement de ses ruines, méditation sur la vérité de l'art aux prises avec les mensonges politiques. |
Nature du document : | fiction |
Thème de fiction : | mensonge/trahison |
Genre : | roman |
Niveau : | Lycée |
Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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R AME | Lycée | Fictions | 012924 | Disponible |