Jean-Charles Langlois, la photographie, la peinture, la guerre : Correspondance inédite de crimée (1855-1856)
de Jean-Charles Langlois, François Robichon Jacqueline Chambon, 1998, 310 p. (Penser la photographie) La correspondance inédite du colonel Jean-Charles Langlois est un document précieux pour la connaissance de l'histoire de la guerre de Crimée, de la peinture de panoramas et de la photographie. Le colonel Langlois est chargé par le ministère de la Guerre de réaliser un panorama du siège de Sébastopol. À cet effet, il séjourne en Crimée de novembre 1855 à mai 1856. De façon nouvelle dans sa carrière de peintre, il décide de faire appel à la photographie, une technologie récente qu'il ne connaît pas. Il se fait donc assister du jeune Léon-Eugène Méhédin, élève du célèbre photographe Le Gray. Langlois entretient une correspondance régulière avec sa femme restée à Paris. Ses réflexions consignées au jour le jour sont aujourd'hui riches d'enseignement pour penser tant la photographie que la peinture. |
Langlois Jean-Charles, Robichon François.
Jean-Charles Langlois, la photographie, la peinture, la guerre : Correspondance inédite de crimée (1855-1856).
Jacqueline Chambon, 1998, 310 p.
(Penser la photographie).
Titre : | Jean-Charles Langlois, la photographie, la peinture, la guerre : Correspondance inédite de crimée (1855-1856) |
Auteurs : | Jean-Charles Langlois, Auteur ; François Robichon, Auteur ; André Rouillé, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Jacqueline Chambon, 1998 |
Collection : | Penser la photographie |
ISBN/ISSN : | 978-2-87711-067-9 |
Format : | 310 p. |
Descripteurs : | guerre / guerre de Crimée : 1853-1856 / photographie |
Résumé : |
La correspondance inédite du colonel Jean-Charles Langlois est un document précieux pour la connaissance de l'histoire de la guerre de Crimée, de la peinture de panoramas et de la photographie. Le colonel Langlois est chargé par le ministère de la Guerre de réaliser un panorama du siège de Sébastopol. À cet effet, il séjourne en Crimée de novembre 1855 à mai 1856. De façon nouvelle dans sa carrière de peintre, il décide de faire appel à la photographie, une technologie récente qu'il ne connaît pas. Il se fait donc assister du jeune Léon-Eugène Méhédin, élève du célèbre photographe Le Gray. Langlois entretient une correspondance régulière avec sa femme restée à Paris. Ses réflexions consignées au jour le jour sont aujourd'hui riches d'enseignement pour penser tant la photographie que la peinture.
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Nature du document : | documentaire |
Niveau : | Lycée |
Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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77.04 LAN | 7. Arts et Loisirs | Documentaires | 026694 | Disponible |