Au nom de l'enfance maltraitée et invisible
de Jean-Claude Raspiengeas In La Croix, 41231 (17 octobre 2018), p. 20 Couronné trois fois au 71e Festival de Cannes, prix du jury, prix du jury cuménique et prix de la citoyenneté, ce film bouleversant dénonce la tragédie des enfants de la rue à Beyrouth.Par une mise en scène au plus près de ses acteurs qui jouent leur propre rôle, la réalisatrice libanaise Nadine Labaki signe lune des plus belles uvres sur lenfance mal aimée.Ils sont là, devant nous, mais notre regard ne sarrête pas sur eux. Les enfants des rues sont notre mauvaise conscience. On préfère ne pas imaginer leur vie réelle, ce qui les a amenés à séchouer ainsi, chiens perdus sans collier, dans les recoins obscurs des cités, ni connaître la somme de drames qui les écrase. |
Raspiengeas Jean-Claude.
« Au nom de l'enfance maltraitée et invisible »
in La Croix, 41231 (17 octobre 2018), p. 20.
Titre : | Au nom de l'enfance maltraitée et invisible (2018) |
Auteurs : | Jean-Claude Raspiengeas, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | La Croix (41231, 17 octobre 2018) |
Article : | p. 20 |
Descripteurs : | enfant maltraité / Liban |
Résumé : |
Couronné trois fois au 71e Festival de Cannes, prix du jury, prix du jury cuménique et prix de la citoyenneté, ce film bouleversant dénonce la tragédie des enfants de la rue à Beyrouth.Par une mise en scène au plus près de ses acteurs qui jouent leur propre rôle, la réalisatrice libanaise Nadine Labaki signe lune des plus belles uvres sur lenfance mal aimée.Ils sont là, devant nous, mais notre regard ne sarrête pas sur eux. Les enfants des rues sont notre mauvaise conscience. On préfère ne pas imaginer leur vie réelle, ce qui les a amenés à séchouer ainsi, chiens perdus sans collier, dans les recoins obscurs des cités, ni connaître la somme de drames qui les écrase. |
Note de contenu : | Un film libanais à découvrir Capharnaüm de Nadine Labaki |
Nature du document : | documentaire |